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Futures Renault
Le problème de la France n'a jamais été d'être pauvre en inventivité... ni pauvre en compétences... bien au contraire ! Le problème a toujours été 1°) de garder sa longueur d'avance (on s'est trop souvent endormi sur nos lauriers en se faisant doubler ensuite, exemple le Minitel), 2°) de garder ses "cerveaux" qui préfèrent pour la plupart émigrer vers des pays où leur génie/leurs inventions seront reconnus à la juste valeur.
Ce n'est pas très grave, Renault c'est aussi Samsung et un peu Nissan.
La vrai question sera l'autonomie en condition REELLE d'utilisation.
J'avais il y a peu beaucoup d'espoir via les nouvelles techno de batteries, mais les 1ers test de la Miev m'ont un peu refroidi.
Il y a dix ans et plus Renault n'avait aucune avance et faisait comme tout le monde dans ce domaine, du bricolage, c'est a dire transformait des voitures essence en les dotant de vulgaire batteries aux plomb.
Alors que clairement aujourd'hui grâce a son allié Nissan, il semble bien avoir de réel compétence et surtout en projet une gamme de voitures spécifiquement électrique qui tient la route (si j'ose dire) et sans doute une certaine avance dans le domaine des batteries.
Donc je ne vois pas ou Renault a perdu des compétences ? et j'aimerais bien savoir dans qu'elle domaine, Renault se trouve obligé de faire appelle des sociétés autres? Qu'il lie des partenariat pour développer les réseaux et vendre les voitures c'est vrai mais ça n'a rien a voir avec les compétences technique.
Les voitures elle, sont développées par Renault Nissan et les Batteries, pour l'instant, en joint venture avec NEC.
Je ne vois vraiment pas de quoi ton ami veut parler, mais peut être faudrait il en savoir d'avantage, dans qu'elle domaine travaille ton ami, et qu'a t-il eu comme interlocuteur chez Renault, je veux dire par là, qu'il n'est peut être pas tombé sur les bonnes personnes.
Car sinon c'est grave ça fait plusieurs années que le projet est en route et doit aboutir en fin d'année, déjà plusieurs clients se sont décidé, des états des régions, des collectivités se sont engagé, si Renault n'est pas carré sur un projet qui est son cheval de bataille il coure a la catastrophe et j'ai du mal a y croire.
La question n'est pas de savoir si un jour on manquera de pétrole , mais de savoir quand cela arrivera, et surtout quand la demande sera-t-elle supérieur au possibilité de production? par ce que quand cela arrivera on verra le cout du pétrole monter en flèche comme on ne l'a jamais vue.
Attendons quand même les premiers tests indépendants, afin de voir l'autonomie en condition réelle d'utilisation.
Pour le prix, c'est clairement plus intéressant que la minuscule Imiev.
C'est la bonne nouvelle de la semaine ^^
Je crois que la remplaçante de ma Clio sera une EV
Faut voir comment il répartissent les stations de recharge rapide dans le pays, car l'ouest et le nord risquent d'etre un peu délaissés. 30 c'est pas beaucoup, et si je compare aux 32 stations d'E85 qu'on a, c'est pas gagné.
Maintenant va falloir que je réfléchisse à comment la recharger chez moi, car l'électricité de mon garage sous-terrain est relié aux parties communes et je pense pas que ca rende heureux les voisins
Effectivement, elle reste fort proche du concept.
Je crois que les entreprises s'en chargeront... ce qui est normal pour un véhicule électrique !
Sur les Kangoo ZE de La Poste, qui resteront tout de même jaune, vous aurez le dessin d'une grosse prise électrique sur chaque côté du véhicule et sur son capot. Cela montrera ainsi que La Poste est une entreprise branchée !
[Tous Modèles] Et l'électrique ?
Citer +
On ne s'invente pas fabricant de batterie du jour au lendemain, c'est vrai. Mais je pense que pour un constructeur automobile ça ne doit pas poser beaucoup de problèmes, une automobiles avec tout ses organes mécanique et autres étant un objet beaucoup plus complexe qu'une batterie a industrialiser, une fois la technologie au point, et Nissan et Renault y travaillent depuis déjà quelques années.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
Dernière édition par Ubuntu le Dim 07 Mar, 2010 22:03; édité 1 fois
larry.kubiak a écrit:
Tu es sur ?
Je t'en citerais quelques unes : l'énergie nucléaire, le Minitel (bien avant l'avènement d'Internet), les trains à grande vitesse, le Bebop, la R14 GTL, le standard SECAM ...
... et au sein de l'Europe : Airbus, Ariane, le CERN ...
Ubuntu a écrit:
Enfin la France a raté toutes les révolutions technologique importante depuis un demi siècle, alors pour une fois qu'elle semble être dans le bon wagon, on devrait s'en réjouir...
Tu es sur ?
Je t'en citerais quelques unes : l'énergie nucléaire, le Minitel (bien avant l'avènement d'Internet), les trains à grande vitesse, le Bebop, la R14 GTL, le standard SECAM ...
... et au sein de l'Europe : Airbus, Ariane, le CERN ...
Le problème de la France n'a jamais été d'être pauvre en inventivité... ni pauvre en compétences... bien au contraire ! Le problème a toujours été 1°) de garder sa longueur d'avance (on s'est trop souvent endormi sur nos lauriers en se faisant doubler ensuite, exemple le Minitel), 2°) de garder ses "cerveaux" qui préfèrent pour la plupart émigrer vers des pays où leur génie/leurs inventions seront reconnus à la juste valeur.
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Stéphane
![https://renaultconcepts.online.fr/images/headers/bandeau-accueil2a.gif]()
Stéphane
Ca arrive pourtant régulièrement.
Et puis les grands constructeurs automobile ont tous des gros centres de R&D, et de gros moyens, il suffit pour eux de d'embaucher les bonnes personnes. Ensuite pour passer a la phase industrialisation, il n'y a aucun doute qu'ils ont les compétences.
Et puis enfin faire des batteries pour des appareils électro-portatif ce n'est pas tout a fait la même chose que de faire des batteries pour l'automobile, même si la technologie de base est la même. C'est d'ailleurs peut être un des point fort du projet Renault Nissan que de créer une filière batteries spécialement dédiée a l'automobile, alors que d'autre adapte des batteries qui au début ne son pas prévue pour l'automobile.
+1 avec Zzeria, je rajouterais qu'en plus de tes remarques, on a du mal a exploiter toutes les bonnes idées et invention que l'on a, et c'est souvent d'autre qui en profite.
Et puis les grands constructeurs automobile ont tous des gros centres de R&D, et de gros moyens, il suffit pour eux de d'embaucher les bonnes personnes. Ensuite pour passer a la phase industrialisation, il n'y a aucun doute qu'ils ont les compétences.
Et puis enfin faire des batteries pour des appareils électro-portatif ce n'est pas tout a fait la même chose que de faire des batteries pour l'automobile, même si la technologie de base est la même. C'est d'ailleurs peut être un des point fort du projet Renault Nissan que de créer une filière batteries spécialement dédiée a l'automobile, alors que d'autre adapte des batteries qui au début ne son pas prévue pour l'automobile.
+1 avec Zzeria, je rajouterais qu'en plus de tes remarques, on a du mal a exploiter toutes les bonnes idées et invention que l'on a, et c'est souvent d'autre qui en profite.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
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ce qui m'amuse quelque peu toutefois, c'est qu'en 98, renault était déjà parti pour travailler sur les véhicules électriques... Des partenariats avaient été faits avec EDF notamment, mais aussi avec des villes qui étaient prêtes à être en test. Et puis le soufflé s'est dégonflé d'un coup, renault a perdu énormément de ses compétences sur le sujet et se retrouve obligé aujourd'hui de faire appel à des sociétés autres (j'ai un ami qui est sur le sujet dans une de ces boîtes et qui découvre avec effarement le bas niveau de compétences de renault dans le domaine)
Ca me laisse quand même dire que renaut avait clairement une grosse avance (10 ans de mieux qu'aujourd'hui) et l'a complètement laissé disparaître... Dommage. Enfin, j'espère que ce ne sera pas rédhibitoire.
Ca me laisse quand même dire que renaut avait clairement une grosse avance (10 ans de mieux qu'aujourd'hui) et l'a complètement laissé disparaître... Dommage. Enfin, j'espère que ce ne sera pas rédhibitoire.
Sans parler des Dauphine, Renault 4, 5, 10, 12, électriques, prototypes ou petites séries qui ont existé dans les années 60 et 70... Ou les Clio, Kangoo et Express électriques des années 90...
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Stéphane
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Stéphane
Non mais faut pas oublier qu'a peu près tous les grands constructeurs ont fait de la voiture électrique, c'est pas nouveau. Mais c'était plutot du "bricolage en bout de chaine"
Ce qui l'est, c'est la fabrication de masse, et tout ce que ça implique en investissements mais aussi en cout de fabrication (cout marginal plus faible bien entendu).
Ce qui l'est, c'est la fabrication de masse, et tout ce que ça implique en investissements mais aussi en cout de fabrication (cout marginal plus faible bien entendu).
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'20 Tesla Model3 SR+ (Irlandaise)
'85 Super 5 TC (Française)
'86 Alliance DL Convertible (import US) -> En vente
'20 Tesla Model3 SR+ (Irlandaise)
'85 Super 5 TC (Française)
'86 Alliance DL Convertible (import US) -> En vente
Zoom-Zoom a écrit:
Oui enfin la plupart des fournisseurs de batterie sont japonais + un coréen je crois.
Je ne vois pas très bien en quoi la France aurait une longueur d'avance dans le domaine (ou alors il faut me dire de quelles entreprises on parle?). Renault est bien placé mais tout le monde parle de voitures électriques. VW veut devenir numéro 1 d'ici 2018 dans le domaine donc bon Renault sera peut-être plus ou moins seul pendant 1 an ou 2 grand max mais quand le marché explosera, tous les concurrents seront de la partie.
Je ne vois pas très bien en quoi la France aurait une longueur d'avance dans le domaine (ou alors il faut me dire de quelles entreprises on parle?). Renault est bien placé mais tout le monde parle de voitures électriques. VW veut devenir numéro 1 d'ici 2018 dans le domaine donc bon Renault sera peut-être plus ou moins seul pendant 1 an ou 2 grand max mais quand le marché explosera, tous les concurrents seront de la partie.
Ce n'est pas très grave, Renault c'est aussi Samsung et un peu Nissan.
La vrai question sera l'autonomie en condition REELLE d'utilisation.
J'avais il y a peu beaucoup d'espoir via les nouvelles techno de batteries, mais les 1ers test de la Miev m'ont un peu refroidi.
Dernière édition par navidad le Lun 08 Mar, 2010 15:03; édité 1 fois
pezed a écrit:
ce qui m'amuse quelque peu toutefois, c'est qu'en 98, renault était déjà parti pour travailler sur les véhicules électriques... Des partenariats avaient été faits avec EDF notamment, mais aussi avec des villes qui étaient prêtes à être en test. Et puis le soufflé s'est dégonflé d'un coup, renault a perdu énormément de ses compétences sur le sujet et se retrouve obligé aujourd'hui de faire appel à des sociétés autres (j'ai un ami qui est sur le sujet dans une de ces boîtes et qui découvre avec effarement le bas niveau de compétences de renault dans le domaine)
Ca me laisse quand même dire que renaut avait clairement une grosse avance (10 ans de mieux qu'aujourd'hui) et l'a complètement laissé disparaître... Dommage. Enfin, j'espère que ce ne sera pas rédhibitoire.
Ca me laisse quand même dire que renaut avait clairement une grosse avance (10 ans de mieux qu'aujourd'hui) et l'a complètement laissé disparaître... Dommage. Enfin, j'espère que ce ne sera pas rédhibitoire.
Il y a dix ans et plus Renault n'avait aucune avance et faisait comme tout le monde dans ce domaine, du bricolage, c'est a dire transformait des voitures essence en les dotant de vulgaire batteries aux plomb.
Alors que clairement aujourd'hui grâce a son allié Nissan, il semble bien avoir de réel compétence et surtout en projet une gamme de voitures spécifiquement électrique qui tient la route (si j'ose dire) et sans doute une certaine avance dans le domaine des batteries.
Donc je ne vois pas ou Renault a perdu des compétences ? et j'aimerais bien savoir dans qu'elle domaine, Renault se trouve obligé de faire appelle des sociétés autres? Qu'il lie des partenariat pour développer les réseaux et vendre les voitures c'est vrai mais ça n'a rien a voir avec les compétences technique.
Les voitures elle, sont développées par Renault Nissan et les Batteries, pour l'instant, en joint venture avec NEC.
Je ne vois vraiment pas de quoi ton ami veut parler, mais peut être faudrait il en savoir d'avantage, dans qu'elle domaine travaille ton ami, et qu'a t-il eu comme interlocuteur chez Renault, je veux dire par là, qu'il n'est peut être pas tombé sur les bonnes personnes.
Car sinon c'est grave ça fait plusieurs années que le projet est en route et doit aboutir en fin d'année, déjà plusieurs clients se sont décidé, des états des régions, des collectivités se sont engagé, si Renault n'est pas carré sur un projet qui est son cheval de bataille il coure a la catastrophe et j'ai du mal a y croire.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
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Winston Churchill
Les véhicules à énergie alternative attendront 2035 pour égaler ceux à motorisation classique
![http://www.cartech.fr/cartech/i/edit/2010/03/chiffres-alternatifs.jpg]()
Les prévisions de l’agence américaine de l’énergie laissent entendre qu’il faudra patienter encore 25 ans pour que les modèles qui ne soient pas basés à 100% sur l’essence atteignent une part de marché de 49%.
Même s’il est en vogue sur le papier avec de très nombreux modèles hybrides, électriques ou à hydrogène annoncés chez presque tous les constructeurs de la planète, le marché des véhicules à énergie alternative ne devrait pas bénéficier d’une progression fulgurante dans les prochaines années. A tel point que selon l’agence américaine de l’énergie, de 13% en 2008, la part des modèles flexfuel, hybrides, électriques et à pile à combustible ne devrait égaler celle des modèles 100% thermiques qu’en 2035, avec 49% du marché.
Un chiffre qu’il faut d’autant plus modérer que dans ces 49% figurent déjà 20% de modèles flexfuel, c'est-à-dire compatibles agrocarburants. Mais qui ne rouleront pas forcément à l’éthanol. Ensuite viennent 13% de modèles « mild hybrides », du type Mercedes S400, qui ne roulent jamais ou très peu en mode tout électrique. Puis 5% de modèles diesel (sic), ce carburant étant considéré aux Etats-Unis comme une énergie alternative à la sacro-sainte essence.
Ne restent plus que 11% pour les modèles « full hybrides » ou hybrides à extension d’autonomie de type Chevrolet Volt. Les modèles à hydrogène et 100% électriques comptent quant à eux pour moins de 1% des ventes. Même si ces chiffres ne concernent que le marché américain et qu’ils ne sont que des prédictions, ils devraient tout de même faire réfléchir des marques comme Renault engagés sur la seule voie du tout électrique.
Les prévisions de l’agence américaine de l’énergie laissent entendre qu’il faudra patienter encore 25 ans pour que les modèles qui ne soient pas basés à 100% sur l’essence atteignent une part de marché de 49%.
Même s’il est en vogue sur le papier avec de très nombreux modèles hybrides, électriques ou à hydrogène annoncés chez presque tous les constructeurs de la planète, le marché des véhicules à énergie alternative ne devrait pas bénéficier d’une progression fulgurante dans les prochaines années. A tel point que selon l’agence américaine de l’énergie, de 13% en 2008, la part des modèles flexfuel, hybrides, électriques et à pile à combustible ne devrait égaler celle des modèles 100% thermiques qu’en 2035, avec 49% du marché.
Un chiffre qu’il faut d’autant plus modérer que dans ces 49% figurent déjà 20% de modèles flexfuel, c'est-à-dire compatibles agrocarburants. Mais qui ne rouleront pas forcément à l’éthanol. Ensuite viennent 13% de modèles « mild hybrides », du type Mercedes S400, qui ne roulent jamais ou très peu en mode tout électrique. Puis 5% de modèles diesel (sic), ce carburant étant considéré aux Etats-Unis comme une énergie alternative à la sacro-sainte essence.
Ne restent plus que 11% pour les modèles « full hybrides » ou hybrides à extension d’autonomie de type Chevrolet Volt. Les modèles à hydrogène et 100% électriques comptent quant à eux pour moins de 1% des ventes. Même si ces chiffres ne concernent que le marché américain et qu’ils ne sont que des prédictions, ils devraient tout de même faire réfléchir des marques comme Renault engagés sur la seule voie du tout électrique.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
RENAULT VEUT VENDRE DES VEHICULES ELECTRIQUES A PRIX MODERE
15 mars
Patrick Pélata, directeur général délégué de Renault, indique que le constructeur compte sur des aides gouvernementales et sur des programmes de location de batteries pour suffisamment diminuer les prix des véhicules électriques et les rendre compétitifs par rapport aux modèles diesel en Europe. Il explique que Renault compte vendre la citadine électrique Zoé entre 12 000 et 14 000 euros, en comptant la prime de 5 000 euros déjà instaurée par la France et l’aide de 5 500 livres (6 000 euros) qui entrera en vigueur au Royaume-Uni en 2011. Il ajoute que la marque au losange prévoit de louer les batteries de ses véhicules électriques pour 100 euros par mois.
Les Kangoo et Fluence électriques, attendus mi-2011, devraient être produits à 30 000 exemplaires par an chacun (le prix de la Fluence devrait être compris entre 25 000 et 28 000 euros, toutes aides comprises). La Zoé, qui ne sera vendue qu’en version électrique, est prévue pour 2012 ; elle devrait être produite à 150 000 unités par an, mais M. Pélata souligne que ce volume pourrait être doublé rapidement en cas de besoin.
Renault estime que 10 % des voitures neuves vendues en Europe à l’horizon 2020 utiliseront des énergies autres que fossiles. Les véhicules électriques devraient représenter 3 à 5 % des immatriculations d’ici là.
M. Pélata précise par ailleurs que les émissions moyennes de CO2 des véhicules électriques sont estimées à 62 g/km en Europe, mais à seulement 12 g/km en France, où une grande partie de l’électricité provient de centrales nucléaires. Le taux moyen monte à 80 g/km lorsque l’électricité est obtenue à partir de gaz natuel compressé, et même à 120 g/km lorsqu’elle provient de centrales à charbon de nouvelle génération. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 14/3/10)
15 mars
Patrick Pélata, directeur général délégué de Renault, indique que le constructeur compte sur des aides gouvernementales et sur des programmes de location de batteries pour suffisamment diminuer les prix des véhicules électriques et les rendre compétitifs par rapport aux modèles diesel en Europe. Il explique que Renault compte vendre la citadine électrique Zoé entre 12 000 et 14 000 euros, en comptant la prime de 5 000 euros déjà instaurée par la France et l’aide de 5 500 livres (6 000 euros) qui entrera en vigueur au Royaume-Uni en 2011. Il ajoute que la marque au losange prévoit de louer les batteries de ses véhicules électriques pour 100 euros par mois.
Les Kangoo et Fluence électriques, attendus mi-2011, devraient être produits à 30 000 exemplaires par an chacun (le prix de la Fluence devrait être compris entre 25 000 et 28 000 euros, toutes aides comprises). La Zoé, qui ne sera vendue qu’en version électrique, est prévue pour 2012 ; elle devrait être produite à 150 000 unités par an, mais M. Pélata souligne que ce volume pourrait être doublé rapidement en cas de besoin.
Renault estime que 10 % des voitures neuves vendues en Europe à l’horizon 2020 utiliseront des énergies autres que fossiles. Les véhicules électriques devraient représenter 3 à 5 % des immatriculations d’ici là.
M. Pélata précise par ailleurs que les émissions moyennes de CO2 des véhicules électriques sont estimées à 62 g/km en Europe, mais à seulement 12 g/km en France, où une grande partie de l’électricité provient de centrales nucléaires. Le taux moyen monte à 80 g/km lorsque l’électricité est obtenue à partir de gaz natuel compressé, et même à 120 g/km lorsqu’elle provient de centrales à charbon de nouvelle génération. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 14/3/10)
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En plus de ne pas être grand technicien motoriste : je ne suis pas un grand économiste... 
Mais je trouve que la vison de 10% d'ici 2020, c'est très faible...
A moins que dans les 10% : les bi-carburants ne soient pas inclus
Car quand je vois le relatif succés des GPL autour de moi (Clio/Sandero), bien qu'on doit encore être très loin de 10% : si l'offre se multiplie (hybride, électrique), on devrait attendre ce dixième "facilement"... A moins qu'on imagine que les aides (2000€ pour le GPL) diminuent d'ici peu...
Sinon, ce coût de location de batterie de 100 euros par mois est très moyen...
Ce n'est pas excessif, mais y'a pas de quoi se jeter dessus...
Perso : tant que les stations de rechargement seront faibles, je pense que cela serait une excellente seconde voiture pour les trajets quotidiens...
Par contre, pour mes trajets quotidiens : je dois "tourner" à moins de 100 euros d'essence par mois !
Du coup, sauf à avoir l'âme écolo : je n'ai aucune raison économique de préférer l'électrique à l'essence...
Mais bon, quand je vois comment le téléphone portable a explosé ces dernières années : je ne serais pas étonné si ça devait se reproduire avec le véhicule électrique... Alors pourquoi pas... Mais aujourd'hui, le prix n'est pas encore descisif...
Mais je trouve que la vison de 10% d'ici 2020, c'est très faible...
A moins que dans les 10% : les bi-carburants ne soient pas inclus
Car quand je vois le relatif succés des GPL autour de moi (Clio/Sandero), bien qu'on doit encore être très loin de 10% : si l'offre se multiplie (hybride, électrique), on devrait attendre ce dixième "facilement"... A moins qu'on imagine que les aides (2000€ pour le GPL) diminuent d'ici peu...
Sinon, ce coût de location de batterie de 100 euros par mois est très moyen...
Ce n'est pas excessif, mais y'a pas de quoi se jeter dessus...
Perso : tant que les stations de rechargement seront faibles, je pense que cela serait une excellente seconde voiture pour les trajets quotidiens...
Par contre, pour mes trajets quotidiens : je dois "tourner" à moins de 100 euros d'essence par mois !
Du coup, sauf à avoir l'âme écolo : je n'ai aucune raison économique de préférer l'électrique à l'essence...
Mais bon, quand je vois comment le téléphone portable a explosé ces dernières années : je ne serais pas étonné si ça devait se reproduire avec le véhicule électrique... Alors pourquoi pas... Mais aujourd'hui, le prix n'est pas encore descisif...
Je suis d'accord : la location de batterie est RAISONNABLE... Mais pas ATTRACTIVE...
Pour le prix des véhicules : je ne suis qu'à moitié d'accord... Fluence semble cher... Mais être pionnier coûte toujours cher... (et on ne sait pas son niveau d'équipement, ni les caractéristiques du moteur électrique).
Mais le prix de Zoé, prime incluse, semble très compétitif !!
Une Clio III Expression clim Essence 75ch est à plus de 14.000 euros, la version Dynamique Tce 100ch est à 16.000 euros, et la Exception dCi 85ch est à plus de 19.000 euros
Si le moteur de la Zoé est agréable/puissant et que ce véhicule est bien équipé (je crois que le GPS est un équipement de base sur Zoé?) : 12/14 K euros, ça ne fait pas très cher !
Mais si la Zoé est un veau de 30ch, qui a des pertes de puissance dès qu'on monte la radio, et qui a une batterie qui se décharge à moitié au premier appel de phares : là, ça serait très ennuyeux...
Pour le prix des véhicules : je ne suis qu'à moitié d'accord... Fluence semble cher... Mais être pionnier coûte toujours cher...
(et on ne sait pas son niveau d'équipement, ni les caractéristiques du moteur électrique).
Mais le prix de Zoé, prime incluse, semble très compétitif !!
Une Clio III Expression clim Essence 75ch est à plus de 14.000 euros, la version Dynamique Tce 100ch est à 16.000 euros, et la Exception dCi 85ch est à plus de 19.000 euros
Si le moteur de la Zoé est agréable/puissant et que ce véhicule est bien équipé (je crois que le GPS est un équipement de base sur Zoé?) : 12/14 K euros, ça ne fait pas très cher !
Mais si la Zoé est un veau de 30ch, qui a des pertes de puissance dès qu'on monte la radio, et qui a une batterie qui se décharge à moitié au premier appel de phares : là, ça serait très ennuyeux...
Dernière édition par GT en E84 le Lun 15 Mar, 2010 20:03; édité 1 fois
Cela a l'air d'être cool à conduire en tout cas
http://www.youtube.com/watch?v=DUps20VUnyI&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=DUps20VUnyI&feature=related
plein plein mais en plein milieu de l'Alaska ...
_________________
Mac mini : Mac OS X 10.6 Snow Leopard , intel core 2 duo 2.4GHz , 8Go SDRAM DDR3 , DD Serial ATA 320GO ...
Les monstres sont réels, les fantômes le sont aussi. Ils vivent à l’intérieur de nous et parfois ils gagnent
L'ombre ne survit que grâce a la lumière .
Mac mini : Mac OS X 10.6 Snow Leopard , intel core 2 duo 2.4GHz , 8Go SDRAM DDR3 , DD Serial ATA 320GO ...
Les monstres sont réels, les fantômes le sont aussi. Ils vivent à l’intérieur de nous et parfois ils gagnent
L'ombre ne survit que grâce a la lumière .
La Zoe sera équipée d’un moteur de 95 chevaux, ce qui pour une citadine est plus que correct surtout que les moteurs électrique ont un couple plus important et disponible a tout les régimes.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
max77250 a écrit:
Mais non! 
T'inquiète pas pour ça il en trouveront encore beaucoup et pas forcement a petaouchnok!
T'inquiète pas pour ça il en trouveront encore beaucoup et pas forcement a petaouchnok!
La question n'est pas de savoir si un jour on manquera de pétrole , mais de savoir quand cela arrivera, et surtout quand la demande sera-t-elle supérieur au possibilité de production? par ce que quand cela arrivera on verra le cout du pétrole monter en flèche comme on ne l'a jamais vue.
Citation:
Pour les scientifiques koweïtiens, le pic pétrolier est pour 2014
Par Aurélie Barthly - le Jeudi 11 mars 2010 |
On l'attendait pour 2020 ; le pic pétrolier tant redouté devrait pourtant, selon des scientifiques du Koweït, survenir 6 ans plus tôt soit en 2014. Ce fameux pic pétrolier, qui désigne le moment où les ressources mondiales de pétrole, après avoir atteint un plafond, commenceront à décliner du fait de l'épuisement des ressources, a été estimé de nombreuses fois selon différents modèles par de nombreux scientifiques ; les pessimistes d'un côté et les optimistes de l'autre n'ont jamais été capables de se mettre d'accord. Les chercheurs sont cependant depuis peu enclins à s'accorder sur l'idée que le modèle Hubbert, jusqu'alors très populaire, n'était pas suffisamment pointu et nécessitait quelques ajustements pour tenir compte des cycles de productions complexes dans certains pays, cycles pouvant également être influencés par des facteurs externes tels que la technologie ou encore la politique.
Cette nouvelle étude se veut donc plus aboutie et les scientifiques affirment qu'elle fournit une estimation plus juste et plus réaliste de la production actuelle de pétrole. 47 pays grands producteurs ont ainsi été passés à la loupe, et les résultats n'ont rien de rassurant : les stocks de pétrole diminueraient de 2,1% chaque année et le pic pétrolier devrait survenir en 2014. De quoi, toujours selon les chercheurs, influencer les décisions relatives aux stratégies et aux politiques énergétiques.
Par Aurélie Barthly - le Jeudi 11 mars 2010 |
On l'attendait pour 2020 ; le pic pétrolier tant redouté devrait pourtant, selon des scientifiques du Koweït, survenir 6 ans plus tôt soit en 2014. Ce fameux pic pétrolier, qui désigne le moment où les ressources mondiales de pétrole, après avoir atteint un plafond, commenceront à décliner du fait de l'épuisement des ressources, a été estimé de nombreuses fois selon différents modèles par de nombreux scientifiques ; les pessimistes d'un côté et les optimistes de l'autre n'ont jamais été capables de se mettre d'accord. Les chercheurs sont cependant depuis peu enclins à s'accorder sur l'idée que le modèle Hubbert, jusqu'alors très populaire, n'était pas suffisamment pointu et nécessitait quelques ajustements pour tenir compte des cycles de productions complexes dans certains pays, cycles pouvant également être influencés par des facteurs externes tels que la technologie ou encore la politique.
Cette nouvelle étude se veut donc plus aboutie et les scientifiques affirment qu'elle fournit une estimation plus juste et plus réaliste de la production actuelle de pétrole. 47 pays grands producteurs ont ainsi été passés à la loupe, et les résultats n'ont rien de rassurant : les stocks de pétrole diminueraient de 2,1% chaque année et le pic pétrolier devrait survenir en 2014. De quoi, toujours selon les chercheurs, influencer les décisions relatives aux stratégies et aux politiques énergétiques.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
Alliance Renault-Nissan: signature d'un accord pour développer la mobilité électrique en Lombardie (Italie)
L'alliance Renault-Nissan et A2A, deuxième « énergéticien » italien ont signé un accord définitif d'engagement commun pour le développement de la mobilité « zéro-émission » en Lombardie (Italie).
Ce projet pilote, baptisé « E-Moving », et mis en place dès juin 2010 dans les villes de Milan et Brescia, vise à tester pendant un an un projet globale de mobilité électrique. Cette expérimentation grandeur nature vise à éprouver précisément: la technologie et l’emplacement des infrastructures de recharge, les méthodes de vente et les offres commerciales (vente ou location des véhicules électriques), l’interaction entre le réseau de recharge et les véhicules, la fourniture d’électricité pour les véhicules et les systèmes de facturation associés, la gestion des batteries, et l’entretien des véhicules électriques.
Pour ce faire, se sont 270 points de recharge et 60 véhicules électriques Renault (Kangoo Express Z.E et Fluence Z.E) qui seront disponibles à la location, pour les particuliers et les entreprises, à un tarif équivalent à un loyer d'un véhicule diesel.
« L’objectif poursuivi par Renault, » a affirmé Jacques Bousquet, Président de Renaul tItalie, « consiste à promouvoir une mobilité durable pour tous, en rendant le véhiculeé lectrique disponible et accessible au plus grand nombre. Il ne s’agit pas d’un produit de niche, mais d’un produit destiné à une large diffusion sur le marché. La coopération entre Renault, l’énergéticien A2A et les administrations municipales portera, dans un premier temps, sur la phase de test, ensuite à la promotion et à la diffusion, de véhicules 100% électriques, grâce aux technologies d’avant-garde, au déploiement d’infrastructures sur mesure pour les clients et à une offre incluant des solutions commerciales et techniques fonctionnels. C’est une coopération pour que la voiture électrique révolutionne la mobilité et soit respectueuse de l’environnement, à travers la mise à zéro des émissions CO2, et pratique pour les automobilistes ».
Mercredi 17 Mars 2010
Aurélien Venet
L'alliance Renault-Nissan et A2A, deuxième « énergéticien » italien ont signé un accord définitif d'engagement commun pour le développement de la mobilité « zéro-émission » en Lombardie (Italie).
Ce projet pilote, baptisé « E-Moving », et mis en place dès juin 2010 dans les villes de Milan et Brescia, vise à tester pendant un an un projet globale de mobilité électrique. Cette expérimentation grandeur nature vise à éprouver précisément: la technologie et l’emplacement des infrastructures de recharge, les méthodes de vente et les offres commerciales (vente ou location des véhicules électriques), l’interaction entre le réseau de recharge et les véhicules, la fourniture d’électricité pour les véhicules et les systèmes de facturation associés, la gestion des batteries, et l’entretien des véhicules électriques.
Pour ce faire, se sont 270 points de recharge et 60 véhicules électriques Renault (Kangoo Express Z.E et Fluence Z.E) qui seront disponibles à la location, pour les particuliers et les entreprises, à un tarif équivalent à un loyer d'un véhicule diesel.
« L’objectif poursuivi par Renault, » a affirmé Jacques Bousquet, Président de Renaul tItalie, « consiste à promouvoir une mobilité durable pour tous, en rendant le véhiculeé lectrique disponible et accessible au plus grand nombre. Il ne s’agit pas d’un produit de niche, mais d’un produit destiné à une large diffusion sur le marché. La coopération entre Renault, l’énergéticien A2A et les administrations municipales portera, dans un premier temps, sur la phase de test, ensuite à la promotion et à la diffusion, de véhicules 100% électriques, grâce aux technologies d’avant-garde, au déploiement d’infrastructures sur mesure pour les clients et à une offre incluant des solutions commerciales et techniques fonctionnels. C’est une coopération pour que la voiture électrique révolutionne la mobilité et soit respectueuse de l’environnement, à travers la mise à zéro des émissions CO2, et pratique pour les automobilistes ».
Mercredi 17 Mars 2010
Aurélien Venet
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
RENAULT EST DANS LES TEMPS POUR SES 4 VOITURES ELECTRIQUES
24 mars
Dans un entretien accordé au JOURNAL DE L’AUTOMOBILE (19/3/10), Thierry Koskas, directeur du programme véhicule électrique de Renault, indique que le constructeur est dans les temps concernant le développement de ses quatre voitures électriques, et qu’il a signé plus de 40 partenariats (principalement avec des Etats, des régions et des compagnies d’électricité), portant surtout sur les infrastructures (mise en place de bornes de recharge, organisation de la facturation auprès des clients, etc.).
M. Koskas explique qu’en matière d’infrastructures, tout va s’accélérer dans les mois à venir. « Après le plan Borloo, annoncé le 1er octobre dernier et partant sur 900 millions d’euros, il y aura du concret au second semestre, avec notamment des appels d’offres dans les collectivités territoriales afin d’installer les bornes », souligne-t-il.
M. Koskas indique également que la formation du réseau de distribution va démarrer cette année. « Le principe sera le one-stop-shopping. C’est-à-dire que le client pourra tout faire dans le réseau. Comme bien évidemment l’achat du véhicule et la location des batteries. Mais nous serons aussi capables de lui fournir l’énergie pour le compte d’un partenaire », explique-t-il.
Concernant l’exploitation du lithium nécessaire aux batteries, M. Koskas indique que les réserves connues actuellement permettront de fournir plus d’un milliard de véhicules et que le lithium ne représente que 1 % du prix d’une batterie. « Même si son prix explose, cela ne changera pas l’équation économique », remarque-t-il.
Renault ne pense pas que la prime de 5 000 euros destinée à favoriser l’achat de véhicules électriques existera toujours dans 10 ans. « L’idée est qu’elle diminue progressivement afin de ne pas tuer la poule avant qu’elle ait pondu ses oeufs. L’incitation actuelle est très importante pour faire démarrer le marché, afin que nous puissions augmenter les volumes et ainsi atteindre les effets d’échelle que nous fixons à l’horizon 2016-2017 pour l’Alliance Renault-Nissan, avec un volume annuel de plus de 500 000 unités », conclut M. Koskas.
24 mars
Dans un entretien accordé au JOURNAL DE L’AUTOMOBILE (19/3/10), Thierry Koskas, directeur du programme véhicule électrique de Renault, indique que le constructeur est dans les temps concernant le développement de ses quatre voitures électriques, et qu’il a signé plus de 40 partenariats (principalement avec des Etats, des régions et des compagnies d’électricité), portant surtout sur les infrastructures (mise en place de bornes de recharge, organisation de la facturation auprès des clients, etc.).
M. Koskas explique qu’en matière d’infrastructures, tout va s’accélérer dans les mois à venir. « Après le plan Borloo, annoncé le 1er octobre dernier et partant sur 900 millions d’euros, il y aura du concret au second semestre, avec notamment des appels d’offres dans les collectivités territoriales afin d’installer les bornes », souligne-t-il.
M. Koskas indique également que la formation du réseau de distribution va démarrer cette année. « Le principe sera le one-stop-shopping. C’est-à-dire que le client pourra tout faire dans le réseau. Comme bien évidemment l’achat du véhicule et la location des batteries. Mais nous serons aussi capables de lui fournir l’énergie pour le compte d’un partenaire », explique-t-il.
Concernant l’exploitation du lithium nécessaire aux batteries, M. Koskas indique que les réserves connues actuellement permettront de fournir plus d’un milliard de véhicules et que le lithium ne représente que 1 % du prix d’une batterie. « Même si son prix explose, cela ne changera pas l’équation économique », remarque-t-il.
Renault ne pense pas que la prime de 5 000 euros destinée à favoriser l’achat de véhicules électriques existera toujours dans 10 ans. « L’idée est qu’elle diminue progressivement afin de ne pas tuer la poule avant qu’elle ait pondu ses oeufs. L’incitation actuelle est très importante pour faire démarrer le marché, afin que nous puissions augmenter les volumes et ainsi atteindre les effets d’échelle que nous fixons à l’horizon 2016-2017 pour l’Alliance Renault-Nissan, avec un volume annuel de plus de 500 000 unités », conclut M. Koskas.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
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Winston Churchill
VOITURE ELECTRIQUE : RENAULT VISE UN COUT MENSUEL DE 90-100 €
29 mars
Thierry Koskas, directeur du programme véhicule électrique de Renault, explique que la prime gouvernementale de 5 000 euros actuellement offerte en France pour l’achat d’un véhicule émettant moins de 60 g de CO2 par km permet d’effacer le surcoût lié à l’achat d’un modèle électrique. « Quand les volumes seront significatifs en 2013 avec une hypothèse de 1,40 euro/l pour le gazole, et pour une moyenne de 40 km par jour, le carburant représentera entre 90 et 100 euros par mois. C’est ce que nous ciblons et ce que nous serons capable de faire », souligne-t-il.
Pour ses voitures électriques, Renault prévoit ainsi un coût de location de batterie, électricité incluse, inférieur à 100 euros par mois. (AUTOACTU.COM 29/3/10)
29 mars
Thierry Koskas, directeur du programme véhicule électrique de Renault, explique que la prime gouvernementale de 5 000 euros actuellement offerte en France pour l’achat d’un véhicule émettant moins de 60 g de CO2 par km permet d’effacer le surcoût lié à l’achat d’un modèle électrique. « Quand les volumes seront significatifs en 2013 avec une hypothèse de 1,40 euro/l pour le gazole, et pour une moyenne de 40 km par jour, le carburant représentera entre 90 et 100 euros par mois. C’est ce que nous ciblons et ce que nous serons capable de faire », souligne-t-il.
Pour ses voitures électriques, Renault prévoit ainsi un coût de location de batterie, électricité incluse, inférieur à 100 euros par mois. (AUTOACTU.COM 29/3/10)
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NISSAN PROPOSERA DES VOITURES ELECTRIQUES A WUHAN DES 2011
29 mars
Renault-Nissan et la Ville de Wuhan ont signé le 25 mars un accord de coopération aux termes duquel l’Alliance proposera des véhicules électriques dans la municipalité. Dès 2011, 25 voitures électriques produites par Nissan - des Leaf - seront testées à Wuhan, où 250 stations de recharge des batteries seront installées.
Wuhan est l’une des 13 villes pilotes choisies pour tester et promouvoir les véhicules à énergie renouvelable en Chine. (GASGOO 28/3/10)
29 mars
Renault-Nissan et la Ville de Wuhan ont signé le 25 mars un accord de coopération aux termes duquel l’Alliance proposera des véhicules électriques dans la municipalité. Dès 2011, 25 voitures électriques produites par Nissan - des Leaf - seront testées à Wuhan, où 250 stations de recharge des batteries seront installées.
Wuhan est l’une des 13 villes pilotes choisies pour tester et promouvoir les véhicules à énergie renouvelable en Chine. (GASGOO 28/3/10)
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Citation:
Une alliance d’envergure
Avec le soutien des ministères de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie, Toyota, Nissan, Mitsubishi, Subaru et la compagnie d’électricité Tepco se sont associés afin de lancer les travaux de standardisation des bornes de recharge pour voitures électriques. Un budget 2010 de 12,4 milliards de yens (100 millions d’euros) doit être alloué au développement du réseau de recharge des voitures électriques au Japon. Sans prétention d’instaurer un standard mondial unique, les quatre constructeurs espèrent à terme inciter les firmes étrangères à adopter le même système de recharge. (Japan Times/ Le Journal de l’automobile)
Avec le soutien des ministères de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie, Toyota, Nissan, Mitsubishi, Subaru et la compagnie d’électricité Tepco se sont associés afin de lancer les travaux de standardisation des bornes de recharge pour voitures électriques. Un budget 2010 de 12,4 milliards de yens (100 millions d’euros) doit être alloué au développement du réseau de recharge des voitures électriques au Japon. Sans prétention d’instaurer un standard mondial unique, les quatre constructeurs espèrent à terme inciter les firmes étrangères à adopter le même système de recharge. (Japan Times/ Le Journal de l’automobile)
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Volvo XC40 RechargeLeaf SV 30 kWh
ex-Outback LTDex-Laguna II.2
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Aux USA la Leaf est lancée à 26K USD après aides fédérales (et encore certains état comme la Californie offrent des déductions fiscales supplémentaires)
http://www.autoblog.com/2010/03/30/nissan-leaf-ev-priced-..-included/4#comments
Pour info la Prius de base est 3K moins chère, je pense que la Leaf va faire un carton ...
Edit:
Rien ne vaut le site officiel
http://www.nissanusa.com/leaf-electric-car/index.jsp
http://www.autoblog.com/2010/03/30/nissan-leaf-ev-priced-..-included/4#comments
Pour info la Prius de base est 3K moins chère, je pense que la Leaf va faire un carton ...
Edit:
Rien ne vaut le site officiel
http://www.nissanusa.com/leaf-electric-car/index.jsp
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'20 Tesla Model3 SR+ (Irlandaise)
'85 Super 5 TC (Française)
'86 Alliance DL Convertible (import US) -> En vente
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Dernière édition par lovrenault le Mar 30 Mar, 2010 18:03; édité 1 fois
lovrenault a écrit:
Pour info la Prius de base est 3K moins chère, je pense que la Leaf va faire un carton ...
Pour info la Prius de base est 3K moins chère, je pense que la Leaf va faire un carton ...
Attendons quand même les premiers tests indépendants, afin de voir l'autonomie en condition réelle d'utilisation.
Pour le prix, c'est clairement plus intéressant que la minuscule Imiev.
Dernière édition par navidad le Jeu 01 Avr, 2010 13:04; édité 2 fois
Nissan Leaf : à partir de 24 000 euros au Japon
Nissan vient de communiquer le prix de lancement de sa berline électrique Leaf pour le Japon. Nissan annonce un prix démarrant à 3,76 millions de Yens, soit 2,99 millions de Yens (ce qui correspond à un peu moins de 24.000 Euros) après déduction de l'aide du gouvernement de 770.000 Yens.
Nissan tient donc ses promesses en se positionnant au Japon à un prix relativement compétitif par rapport à une compacte de même taille et bien équipée. La Leaf sera lancée au Japon dès la fin 2010 et Nissan compte en vendre 6.000 exemplaires sur son exercice 2010-2011 qui se clôture fin mars 2011.
Les prix pour les autres régions (Etats-Unis et Europe) seront communiqués ultérieurement. En convertissant le prix au Japon en Euros, on arrive à un montant légèrement supérieur à 30.000 Euros avant aides publiques, soit par exemple 25.000 Euros pour la France qui offre une subvention de 5.000 Euros pour l'achat d'une voiture rejetant moins de 60 grammes de CO2 par km. La Nissan Leaf, modèle précurseur d'une future gamme Nissan de véhicules électriques, est la première voiture zéro émission prévue pour la commercialisation de masse.
Lancement mondial
La production de la Nissan LEAF, qui débutera en fin d'année 2010 à Oppama (Japon), sera suivie de celle de Smyrna au Tennessee (USA), en 2012. Le site de britannique de Sunderland rejoindra les deux précédents début 2013 avec une capacité de production annuelle initiale d'environ 50.000 unités. Les trois sites de production soutiendront le lancement de ce modèle prévu fin 2010 au Japon, puis aux Etats-Unis et sur certains marchés européens avant une commercialisation à l'échelle mondiale à partir de 2012. Au Royaume-Uni, le lancement commercial de la Nissan LEAF est prévu début 2011.
La Nissan Leaf est propulsée par un moteur électrique développant 110 chevaux, alimenté par un ensemble de batteries lithium-ion lamellaires compactes. Le système de freinage à récupération d'énergie permet une autonomie dépassant les 160 km après recharge complète. Une recharge rapide de 80% de la capacité maxi est possible en moins de 30 minutes. La vitesse maxi de la voiture est annoncée supérieure à 140 km/h.
Nissan vient de communiquer le prix de lancement de sa berline électrique Leaf pour le Japon. Nissan annonce un prix démarrant à 3,76 millions de Yens, soit 2,99 millions de Yens (ce qui correspond à un peu moins de 24.000 Euros) après déduction de l'aide du gouvernement de 770.000 Yens.
Nissan tient donc ses promesses en se positionnant au Japon à un prix relativement compétitif par rapport à une compacte de même taille et bien équipée. La Leaf sera lancée au Japon dès la fin 2010 et Nissan compte en vendre 6.000 exemplaires sur son exercice 2010-2011 qui se clôture fin mars 2011.
Les prix pour les autres régions (Etats-Unis et Europe) seront communiqués ultérieurement. En convertissant le prix au Japon en Euros, on arrive à un montant légèrement supérieur à 30.000 Euros avant aides publiques, soit par exemple 25.000 Euros pour la France qui offre une subvention de 5.000 Euros pour l'achat d'une voiture rejetant moins de 60 grammes de CO2 par km. La Nissan Leaf, modèle précurseur d'une future gamme Nissan de véhicules électriques, est la première voiture zéro émission prévue pour la commercialisation de masse.
Lancement mondial
La production de la Nissan LEAF, qui débutera en fin d'année 2010 à Oppama (Japon), sera suivie de celle de Smyrna au Tennessee (USA), en 2012. Le site de britannique de Sunderland rejoindra les deux précédents début 2013 avec une capacité de production annuelle initiale d'environ 50.000 unités. Les trois sites de production soutiendront le lancement de ce modèle prévu fin 2010 au Japon, puis aux Etats-Unis et sur certains marchés européens avant une commercialisation à l'échelle mondiale à partir de 2012. Au Royaume-Uni, le lancement commercial de la Nissan LEAF est prévu début 2011.
La Nissan Leaf est propulsée par un moteur électrique développant 110 chevaux, alimenté par un ensemble de batteries lithium-ion lamellaires compactes. Le système de freinage à récupération d'énergie permet une autonomie dépassant les 160 km après recharge complète. Une recharge rapide de 80% de la capacité maxi est possible en moins de 30 minutes. La vitesse maxi de la voiture est annoncée supérieure à 140 km/h.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
CARLOS GHOSN DRESSE UN BILAN DE LA CRISE ET EVOQUE L’AVENIR
9 avril
Dans un entretien accordé aux ECHOS (9/4/10), Carlos Ghosn, président de Renault et de Nissan, dresse un bilan de la crise et évoque l’avenir de l’industrie automobile. « Il y a aujourd’hui 600 millions de voitures en circulation dans le monde. En 2050, sous l’effet de la montée en puissance des pays émergents, il y en aura 2 milliards. Or, nous savons que l’énergie pétrolière va devenir de plus en plus chère, qu’elle créera une situation de dépendance de plus en plus intolérable. Nous savons aussi qu’en matière de réglementations environnementales, nous n’en sommes qu’aux débuts. Peu à peu, les normes vont devenir plus sévères. Devant ces problèmes, il est évident que le fait de réduire de 15 % à 20 % les émissions de nos moteurs n’est pas une réponse à la hauteur de l’enjeu. La seule réponse, c’est de développer la voiture électrique. Ce n’est pas un hasard si les gouvernements s’engagent financièrement dans ces projets. Notre plan prévoit de proposer huit voitures, quatre Renault et quatre Nissan, pour un investissement total de 4 milliards d’euros. Dans un premier temps, nous aurons une capacité de 500 000 voitures par an. Quand on ne respirera plus d’odeur de pot d’échappement et qu’on n’entendra plus de bruit de moteur, ce sera perçu comme une vraie transformation par le public. Ce sera un vrai tournant dans l’histoire de l’automobile », affirme-t-il.
9 avril
Dans un entretien accordé aux ECHOS (9/4/10), Carlos Ghosn, président de Renault et de Nissan, dresse un bilan de la crise et évoque l’avenir de l’industrie automobile. « Il y a aujourd’hui 600 millions de voitures en circulation dans le monde. En 2050, sous l’effet de la montée en puissance des pays émergents, il y en aura 2 milliards. Or, nous savons que l’énergie pétrolière va devenir de plus en plus chère, qu’elle créera une situation de dépendance de plus en plus intolérable. Nous savons aussi qu’en matière de réglementations environnementales, nous n’en sommes qu’aux débuts. Peu à peu, les normes vont devenir plus sévères. Devant ces problèmes, il est évident que le fait de réduire de 15 % à 20 % les émissions de nos moteurs n’est pas une réponse à la hauteur de l’enjeu. La seule réponse, c’est de développer la voiture électrique. Ce n’est pas un hasard si les gouvernements s’engagent financièrement dans ces projets. Notre plan prévoit de proposer huit voitures, quatre Renault et quatre Nissan, pour un investissement total de 4 milliards d’euros. Dans un premier temps, nous aurons une capacité de 500 000 voitures par an. Quand on ne respirera plus d’odeur de pot d’échappement et qu’on n’entendra plus de bruit de moteur, ce sera perçu comme une vraie transformation par le public. Ce sera un vrai tournant dans l’histoire de l’automobile », affirme-t-il.
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
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Il y aura du nouveau le 15 Avril 
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Citation:
LE VEHICULE ÉLECTRIQUE DEVIENT UNE RÉALITÉ EN IRLANDE
• Le gouvernement annonce une aide de 5 000 euros pour l’achat d’un
véhicule électrique
• ESB installera 3 500 stations de recharge standard et 30 stations de
recharge rapide
• L’Alliance Renault-Nissan fournira des véhicules électriques à
l’Irlande
DUBLIN (12 avril 2010) — Le gouvernement irlandais, la société ESB, première
compagnie d’électricité au niveau national, et l’Alliance Renault-Nissan ont annoncé aujourd’hui la conclusion d’un accord de partenariat global, qui devrait faire de l’Irlande l’un des pays d’Europe les plus avancés en matière de transport par véhicule électrique.
L’Accord définitif porte notamment sur la fourniture de véhicules électriques par
l’Alliance Renault-Nissan à partir de 2011, la mise en place par ESB d’une
infrastructure nationale de recharge, et sur la politique et les mesures incitatives que le gouvernement mettra en œuvre afin d’encourager l’adoption par le plus grand nombre des véhicules électriques.
Le gouvernement irlandais a annoncé aujourd’hui que tout acheteur de véhicule
électrique pourra disposer d’un bonus de 5 000 euros. Les acheteurs irlandais seront exemptés de taxe d’immatriculation.
Le ministre de Communications, Energie et Ressources naturelles, Eamon Ryan, a décrit cette annonce comme une preuve concrète de la politique gouvernementale.
« Le programme du gouvernement a annoncé son intention de transformer les
secteurs de l’énergie et du transport en Irlande. Nous avons fait de grands progrès en termes d’énergies renouvelables, d’efficacité énergétique et maintenant nous démarrons l’électrification de notre flotte de transport.
L’objectif du gouvernement irlandais est que 10% du parc irlandais soit électrique d’ici à 2020. L’accord d’aujourd’hui avec l’Alliance Renault Nissan prévoit 2000 véhicules électriques sur les routes irlandaises en 2011. Ceci nous permet d’atteindre, voire dépasser nos objectifs.
ESB fournira l’infrastructure de recharge à domicile des nouveaux propriétaires de véhicule électrique. Les automobilistes irlandais peuvent donc s’attendre à une aide financière, des véhicules électriques et des points de recharge. Ceci fera du véhicule électrique le bon choix pour les automobilistes irlandais. »
ESB mettra en place dans tout le pays 3 500 points de charge d’ici décembre 2011.
Le programme a déjà commencé à Dublin et des points de recharge seront
également installés sous peu à Cork, Galway, Waterford et Limerick. ESB a
également l’intention de créer d’ici fin 2011 30 stations de charge rapide, réparties sur l’ensemble du territoire national, dont neuf devraient être opérationnelles dès la fin de cette année.
Pour le directeur général d’ESB, Padraig McManus, l’annonce faite aujourd’hui
représente « une nouvelle étape majeure pour le développement d’un système de transport zéro émission».
« ESB est en train de déployer une infrastructure dans tout le pays pour
accompagner le développement du véhicule électrique. L’Irlande sera l’un des
premiers pays au monde à se doter d’un réseau national de recharge électrique, qui donnera des nouvelles opportunités aux entreprises et favorisera la création d’emplois, tout en offrant les bénéfices environnementaux d’un transport décarboné. »
Nissan commercialisera en Irlande son modèle LEAF, une cinq places à hayon arrière électrique début 2011, tandis que Renault proposera son utilitaire léger électrique, le Kangoo Z.E. quelques mois plus tard. D’ici fin 2011, Renault fournira une centaine de prototypes de la Fluence Z.E. pour un projet pilote également prévu en Irlande.
Berline électrique à usage aussi bien privé que professionnel, la Fluence Z.E. sera mise en vente en Irlande en 2012.
Ces trois véhicules seront équipés de batteries lithium-ion de dernière génération, fabriquées par la société Automotive Energy Supply Corporation (AESC), joint venture établie par Nissan, NEC et NEC Tonkin.
« La volonté de l’Alliance Renault-Nissan de commercialiser à grande échelle et dans le monde entier des véhicules électriques implique une coopération étroite avec de nombreux partenaires, aux quatre coins de la planète », souligne Philippe Klein, directeur général adjoint, Plan et Contrôle de Gestion de Renault. « Grâce à la détermination de l’Irlande à devenir l’un des leaders de la mobilité électrique, les conditions nécessaires, notamment les incitations et les infrastructures, sont actuellement en cours de mise en place, ce qui devrait permettre très prochainement au véhicule électrique de s’implanter durablement dans ce pays. »
« Renault et Nissan se réjouissent d’avoir bientôt la possibilité de fournir à la
clientèle irlandaise des véhicules tout électriques, abordables et répondant aux
mêmes exigences que les autres modèles de nos deux marques en matière de
performances, espace, confort et qualité», note Pierre Loing, vice-président de
Nissan International SA, responsable de la Business Unit Zéro émissions de Nissan Europe. ESB effectuera des essais et des opérations pilotes pour tester l’infrastructure et recueillir des données permettant d’analyser les comportements et les usages des clients, ainsi que leur expérience du véhicule électrique. L’Accord définitif conclu aujourd’hui fait suite à un Protocole d’accord qui avait été signé par les trois parties en avril dernier et qui portait sur une étude de la promotion du véhicule électrique en Irlande.
« Nissan Irlande est ravi de participer à cette initiative de portée historique pour
l’industrie automobile irlandaise et européenne. Nous nous réjouissons à l’idée de fournir aux clients irlandais une nouvelle solution de déplacement zéro émission. Les livraisons de véhicules électriques de Nissan commenceront par la LEAF, dès le début 2011 », a déclaré Gerard O’Toole, président de Nissan Irlande. Selon Eric Basset, directeur général de Renault Irlande : « Grâce à sa relative petite taille, l’Irlande est un pays particulièrement adapté à l’introduction de véhicules électriques et pourra servir de pilote pour le reste de l’Europe étant donné que sa population est principalement concentrée autour des zones urbaines de Dublin, Cork, Limerick, Galway et Waterford. Les véhicules électriques représentent le mode de déplacement idéal pour des besoins privés et professionnels quotidiens des Irlandais,
qui font en moyenne 75 km par jour. »
Renault et Nissan font partie des leaders du développement du véhicule tout
électrique. Les deux marques ont d’ores et déjà annoncé disposer d’une capacité de production mondiale totale de 500 000 unités par an. À ce jour, l’Alliance a conclu plus d’une cinquantaine de partenariats dans le monde entier, avec des États, des villes, des organisations et diverses autres parties prenantes majeures, afin de préparer les marchés et les infrastructures à l’arrivée et à l’adoption du véhicule électrique.
• Le gouvernement annonce une aide de 5 000 euros pour l’achat d’un
véhicule électrique
• ESB installera 3 500 stations de recharge standard et 30 stations de
recharge rapide
• L’Alliance Renault-Nissan fournira des véhicules électriques à
l’Irlande
DUBLIN (12 avril 2010) — Le gouvernement irlandais, la société ESB, première
compagnie d’électricité au niveau national, et l’Alliance Renault-Nissan ont annoncé aujourd’hui la conclusion d’un accord de partenariat global, qui devrait faire de l’Irlande l’un des pays d’Europe les plus avancés en matière de transport par véhicule électrique.
L’Accord définitif porte notamment sur la fourniture de véhicules électriques par
l’Alliance Renault-Nissan à partir de 2011, la mise en place par ESB d’une
infrastructure nationale de recharge, et sur la politique et les mesures incitatives que le gouvernement mettra en œuvre afin d’encourager l’adoption par le plus grand nombre des véhicules électriques.
Le gouvernement irlandais a annoncé aujourd’hui que tout acheteur de véhicule
électrique pourra disposer d’un bonus de 5 000 euros. Les acheteurs irlandais seront exemptés de taxe d’immatriculation.
Le ministre de Communications, Energie et Ressources naturelles, Eamon Ryan, a décrit cette annonce comme une preuve concrète de la politique gouvernementale.
« Le programme du gouvernement a annoncé son intention de transformer les
secteurs de l’énergie et du transport en Irlande. Nous avons fait de grands progrès en termes d’énergies renouvelables, d’efficacité énergétique et maintenant nous démarrons l’électrification de notre flotte de transport.
L’objectif du gouvernement irlandais est que 10% du parc irlandais soit électrique d’ici à 2020. L’accord d’aujourd’hui avec l’Alliance Renault Nissan prévoit 2000 véhicules électriques sur les routes irlandaises en 2011. Ceci nous permet d’atteindre, voire dépasser nos objectifs.
ESB fournira l’infrastructure de recharge à domicile des nouveaux propriétaires de véhicule électrique. Les automobilistes irlandais peuvent donc s’attendre à une aide financière, des véhicules électriques et des points de recharge. Ceci fera du véhicule électrique le bon choix pour les automobilistes irlandais. »
ESB mettra en place dans tout le pays 3 500 points de charge d’ici décembre 2011.
Le programme a déjà commencé à Dublin et des points de recharge seront
également installés sous peu à Cork, Galway, Waterford et Limerick. ESB a
également l’intention de créer d’ici fin 2011 30 stations de charge rapide, réparties sur l’ensemble du territoire national, dont neuf devraient être opérationnelles dès la fin de cette année.
Pour le directeur général d’ESB, Padraig McManus, l’annonce faite aujourd’hui
représente « une nouvelle étape majeure pour le développement d’un système de transport zéro émission».
« ESB est en train de déployer une infrastructure dans tout le pays pour
accompagner le développement du véhicule électrique. L’Irlande sera l’un des
premiers pays au monde à se doter d’un réseau national de recharge électrique, qui donnera des nouvelles opportunités aux entreprises et favorisera la création d’emplois, tout en offrant les bénéfices environnementaux d’un transport décarboné. »
Nissan commercialisera en Irlande son modèle LEAF, une cinq places à hayon arrière électrique début 2011, tandis que Renault proposera son utilitaire léger électrique, le Kangoo Z.E. quelques mois plus tard. D’ici fin 2011, Renault fournira une centaine de prototypes de la Fluence Z.E. pour un projet pilote également prévu en Irlande.
Berline électrique à usage aussi bien privé que professionnel, la Fluence Z.E. sera mise en vente en Irlande en 2012.
Ces trois véhicules seront équipés de batteries lithium-ion de dernière génération, fabriquées par la société Automotive Energy Supply Corporation (AESC), joint venture établie par Nissan, NEC et NEC Tonkin.
« La volonté de l’Alliance Renault-Nissan de commercialiser à grande échelle et dans le monde entier des véhicules électriques implique une coopération étroite avec de nombreux partenaires, aux quatre coins de la planète », souligne Philippe Klein, directeur général adjoint, Plan et Contrôle de Gestion de Renault. « Grâce à la détermination de l’Irlande à devenir l’un des leaders de la mobilité électrique, les conditions nécessaires, notamment les incitations et les infrastructures, sont actuellement en cours de mise en place, ce qui devrait permettre très prochainement au véhicule électrique de s’implanter durablement dans ce pays. »
« Renault et Nissan se réjouissent d’avoir bientôt la possibilité de fournir à la
clientèle irlandaise des véhicules tout électriques, abordables et répondant aux
mêmes exigences que les autres modèles de nos deux marques en matière de
performances, espace, confort et qualité», note Pierre Loing, vice-président de
Nissan International SA, responsable de la Business Unit Zéro émissions de Nissan Europe. ESB effectuera des essais et des opérations pilotes pour tester l’infrastructure et recueillir des données permettant d’analyser les comportements et les usages des clients, ainsi que leur expérience du véhicule électrique. L’Accord définitif conclu aujourd’hui fait suite à un Protocole d’accord qui avait été signé par les trois parties en avril dernier et qui portait sur une étude de la promotion du véhicule électrique en Irlande.
« Nissan Irlande est ravi de participer à cette initiative de portée historique pour
l’industrie automobile irlandaise et européenne. Nous nous réjouissons à l’idée de fournir aux clients irlandais une nouvelle solution de déplacement zéro émission. Les livraisons de véhicules électriques de Nissan commenceront par la LEAF, dès le début 2011 », a déclaré Gerard O’Toole, président de Nissan Irlande. Selon Eric Basset, directeur général de Renault Irlande : « Grâce à sa relative petite taille, l’Irlande est un pays particulièrement adapté à l’introduction de véhicules électriques et pourra servir de pilote pour le reste de l’Europe étant donné que sa population est principalement concentrée autour des zones urbaines de Dublin, Cork, Limerick, Galway et Waterford. Les véhicules électriques représentent le mode de déplacement idéal pour des besoins privés et professionnels quotidiens des Irlandais,
qui font en moyenne 75 km par jour. »
Renault et Nissan font partie des leaders du développement du véhicule tout
électrique. Les deux marques ont d’ores et déjà annoncé disposer d’une capacité de production mondiale totale de 500 000 unités par an. À ce jour, l’Alliance a conclu plus d’une cinquantaine de partenariats dans le monde entier, avec des États, des villes, des organisations et diverses autres parties prenantes majeures, afin de préparer les marchés et les infrastructures à l’arrivée et à l’adoption du véhicule électrique.
C'est la bonne nouvelle de la semaine ^^
Je crois que la remplaçante de ma Clio sera une EV
Faut voir comment il répartissent les stations de recharge rapide dans le pays, car l'ouest et le nord risquent d'etre un peu délaissés. 30 c'est pas beaucoup, et si je compare aux 32 stations d'E85 qu'on a, c'est pas gagné.
Maintenant va falloir que je réfléchisse à comment la recharger chez moi, car l'électricité de mon garage sous-terrain est relié aux parties communes et je pense pas que ca rende heureux les voisins
_________________
'20 Tesla Model3 SR+ (Irlandaise)
'85 Super 5 TC (Française)
'86 Alliance DL Convertible (import US) -> En vente
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'86 Alliance DL Convertible (import US) -> En vente
lmoustik a écrit:
Elle est pas mal la Fluence comme ça 
Effectivement, elle reste fort proche du concept.
_________________
Que la passion soit avec vous
Que la passion soit avec vous
Oui, l'indicateur de charge à l'extérieur est une vraie bonne idée qui valorise bien la voiture et son client (en plus, on ne risque pas de se faire siphonner la batterie!)
_________________
NOUVEAU : Adhérez à l'association et bénéficiez (entre autres) du prêt d'une "valise" Can Clip prête à l'emploi + notices Renault.
Plus d'infos ici
Volvo XC40 RechargeLeaf SV 30 kWh
ex-Outback LTDex-Laguna II.2
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lmoustik a écrit:
Par contre déçu du kangoo, j'aurai voulu quelques différence avec la version thermique
Je crois que les entreprises s'en chargeront... ce qui est normal pour un véhicule électrique !
Sur les Kangoo ZE de La Poste, qui resteront tout de même jaune, vous aurez le dessin d'une grosse prise électrique sur chaque côté du véhicule et sur son capot. Cela montrera ainsi que La Poste est une entreprise branchée !
