L’Audi TT Roadster aux sports d’hiver
La coqueluche de l’été prochain, l’Audi TT, se dégourdit les roues topless dans la neige, nous dévoilant ainsi ses formes. Pas vraiment de surprises : la capote en toile n’a pas de forme spécifique, comme peuvent l’avoir les capotes des BMW série 6 cabriolet ou autres Ferrari F430 Spider, qui ne jouent pas, il est vrai, dans la même gamme. La capote étant plus courte que le pavillon de la version coupé de la petite Audi, la partie arrière de la voiture est très plate. Sur la photo 2, on voit nettement que la voiture est presque symétrique. Je préfère grandement le profil du coupé à celui du cab’ capoté, mais après tout, un cabriolet, c’est fait pour enlever le toit !
Espérons que les superbes sièges finition "gant de base-ball" seront encore au catalogue et que les renforts de caisse destinés à compenser le déficit de rigidité par rapport à la version coupé ne viendront pas trop alourdir une Audi TT déjà pas franchement légère. Le comportement routier de l’Audi TT Mk2 ne souffre, contrairement à son prédécesseur, d’aucune critique. Ça ne serait d’ailleurs pas très grave que le TT soft top soit un peu moins bon que le TT hard top, le plaisir de rouler cheveux au vent demande toujours des sacrifices.
À noter aussi qu’Audi n’a pas retenu l’option du toit escamotable, préférant laisser le créneau à la toute nouvelle Volkswagen Eos mais abandonnant du même coup toute volonté de concurrencer la Mercedes SLK. Ce qui est cohérent avec la politique de la marque qui préfère s’attaquer à BMW, qui vient d’offrir un relifting et une version épicée au Z4, lui aussi doté d’un toit souple. TT RS Cab’ contre Z4 M : belle bataille en perspective !
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Renault
Laguna ph1 1,8 RT de 1995
Clio1 1,2 RL de 1992
Ex: Super 5 Td de 1989 remontée en Gt