X
Accueil / Le Groupe Renault et les chiffres clés

Envol de l'action Renault...

<1234 ... 121314>  
Mer 27 Oct, 2004 22:10
J'espère juste que Koléos n'en a pas acheté quand elles étaient à 68 euros...
Mer 27 Oct, 2004 22:10
nan c bon
ouf

j'aimerai bien en acheter mais pour l'instant g po le budget :?
il y a d'autres truc qui passe avant
Jeu 28 Oct, 2004 10:10
je pense pas que se soit le moment d'acheter l'action Renault..., attendez 6 mois.
DoC_jule78
Membre d'honneur
Jeu 28 Oct, 2004 10:10
Dans 6 mois elle sera au dessus des 70euros à mon avis...
Jeu 28 Oct, 2004 22:10
à mon avis l'action va surement monté,
ghosn va arriver et la logan est un succès !

si tu as d'autres infos, n'hésites pas à les partager

Sam 30 Oct, 2004 12:10
DoC_jule78 a écrit:
Dans 6 mois elle sera au dessus des 70euros à mon avis...


Ca me semble très peu probable !!!
DoC_jule78
Membre d'honneur
Sam 30 Oct, 2004 12:10
D'après certain, l'arrivée de Goshn va booster l'action Renault.
A voir.
Lun 01 Nov, 2004 20:11
C'est ce que l'on entend effectivement. Mais il faut pondérer cela. Ce qu'il a fait pour Nissan n'est peut-être pas possible à refaire avec Renault.
En plus, on commence à entendre que son travail de redressement économique se paie par une baisse de qualité (même schéma que Calvet pour PSA). Ensuite, quand les actionnaires sont contents, c'est souvent au dépend des employés ou des clients, ou des deux (et pas uniquement dans le monde automobile)... Donc une fois de plus, la prudence est de mise.

En plus, la surmédiatisation dont il est l'objet (et l'artisan...) me fait me demander s'il ne roule pas surtout pour lui plus que pour Renault... Un petit côté JM Messier...

"Carlos Ghosn, futur pilote redouté de Renault
Septembre 2004: « L’interrègne a déjà commencé, mais il ne faudrait pas que cela dure trop longtemps », observe Walter Pizzaferri, directeur au cabinet Stratorg. La passation de pouvoirs entre Louis Schweitzer, qui conservera la présidence non exécutive de la marque, et Carlos Ghosn, qui endossera le costume de directeur général, est prévue pour avril 2005. Pourtant, depuis des mois déjà, les managers de Renault s’activent fébrilement pour mettre d’équerre leurs dossiers avant le retour en France du très redouté redresseur de Nissan. Son style de management direct risque de trancher avec celui, plus florentin, de Louis Schweitzer. Carlos Ghosn ­a, certes, fait de Nissan le groupe automobile le plus rentable du monde, avec une marge opérationnelle de 11,1 % ! Mais sa réputation de cost cutter (réducteur de coûts) effraie ! Il estime en outre qu’un constructeur ne peut figurer parmi les survivants de l’automobile en Europe si sa rentabilité opérationnelle minimale n’atteint pas 5 %. Un chiffre que Renault peine à atteindre. « Ça va saigner ! » prédit un banquier du groupe. Ghosn doit aussi cumuler la direction générale de Renault et la fonction de chief executive officer de Nissan. Un double pilotage qui devrait stimuler ce boulimique de travail. A Paris, il s’appuiera sur une garde rapprochée, composée notamment de Thierry Moulonguet, directeur financier de Renault, et de Jean-Baptiste Duzan, au contrôle de gestion."

Jean-Pierre de la Roque pour le Magazine Challenges


"A l'occasion du Mondial de l'automobile, « Business Week » consacre une enquête à Carlos Ghosn, le patron de Nissan qui s'apprête à prendre aussi le volant de Renault. L'hebdomadaire rappelle l'aspect désormais mythique du personnage : « Dans tous les Salons de l'auto les plus en vue, de Paris à Pékin, son air cosmopolite - Ghosn parle couramment cinq langues - et ses remarquables résultats passés font de lui une véritable star. Il est aussi onctueux en public que de la soie thaïlandaise. Et ses collègues s'émerveillent de son magnétisme personnel, de sa capacité à travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, et de sa passion rigoureuse pour les comparaisons et les objectifs. Et comme si tout cela ne suffisait pas, au Liban, dont il est originaire, son nom apparaît depuis quelques semaines comme celui d'un candidat possible pour devenir président. »
Mais, après avoir redressé Nissan de manière spectaculaire et avant de succéder à Louis Schweitzer, « Business Week » se demande « si Ghosn ne va pas trop loin et trop vite ». Avant d'ajouter : « Ne va-t-il pas devoir être obligé de se faire cloner ? » Ce à quoi l'intéressé répond : « Je ne serai pas un président à mi-temps à la fois chez Nissan et chez Renault, mais un président à plein temps avec deux casquettes. » Et ce que Carlos Ghosn entend faire, c'est de créer un unique groupe automobile performant, à partir de deux constructeurs distincts ; une ambition que Daimler-Benz et Chrysler n'ont pas réussi à atteindre.
Et cette tâche, souligne « Business Week », sera d'autant plus aisée à remplir que Louis Schweitzer a réussi à faire de Renault la marque la plus vendue en Europe. Mais, surtout, l'alliance Renault-Nissan fonctionne déjà très bien sur le plan opérationnel. « Le seul pouvoir réel dont dispose un dirigeant d'entreprise, rappelle Carlos Ghosn, c'est celui de motiver. Le reste n'a que peu d'intérêt. » Et l'hebdomadaire de conclure que sa capacité à motiver devra donc être plus forte qu'elle n'a jamais été par le passé."

Extrait des Echos, "le quotidien de l'économie"/ 27.09.2004


Et enfin, pourquoi l'action PSA est plus rentable :

"La rentabilité de PSA tient mieux la route

Le verdict des analystes est formel ! PSA affiche, en moyenne sur les cinq dernières années, une rentabilité opérationnelle supérieure à celle de la marque au losange ( voir graphique ). Selon Pierre-Yves Quemener, analyste au CIC Securities, le résultat opérationnel par véhicule vendu était de 439 euros en 2003, contre 239 euros pour Renault. Même si, cette année, l’écart de rentabilité entre les deux groupes s’inverse – Renault profite de l’effet Mégane quand PSA patine –, le phénomène est structurel. « Les ventes de Renault sont très concentrées sur deux familles de modèles, la Mégane II et la Clio », souligne Gaétan Toulemonde, analyste financier à Deutsche Bank. La famille Mégane II représente ainsi près de 45 % des ventes du groupe. PSA, en revanche, vend plus de voitures de moyen-haut de gamme, comme la récente 407. Du coup, PSA affiche un prix moyen sur chaque véhicule proche de 18 000 euros, contre 12 000 euros pour son concurrent, selon les calculs de Gaétan Toulemonde. Renault affiche, en outre, des résultats plus volatils que ceux de PSA. Ce dernier amortit mieux la fin de vie de ses modèles, grâce à des lancements alternés des deux marques Peugeot et Citroën sur un même segment. Du coup, aucun modèle du groupe ne pèse pour plus d’un tiers dans le résultat net, contrairement au programme Mégane pour Renault. Mais, là encore, les synergies avec Nissan devraient permettre à Renault d’afficher des résultats moins erratiques et supérieurs aux 4,5 % de marge opérationnelle attendus pour 2004. "

Challenges, septembre 2004 - N° 231 - l'Enquête
DoC_jule78
Membre d'honneur
Mer 17 Nov, 2004 13:11
Renault, 10 ans de cotation boursière

Le 17 novembre 1994, Renault ouvrait son capital aux particuliers, aux investisseurs et à ses salariés et attirait plus d’un million d’actionnaires. Dix ans plus tard, Renault a plus que doublé son cours de 25 à 63,55 euros et triplé sa capitalisation qui le situe à la 7ème place des constructeurs automobiles mondiaux.


Le dossier officiel complet ici

Mer 17 Nov, 2004 19:11
Les investisseurs sanctionnent les mauvais chiffres de Renault et Peugeot

LE MONDE | 17.11.04 | 15h59

Le marché européen de l'automobile fait grise mine. En octobre, les immatriculations dans les dix-huit pays d'Europe occidentale (les quinze plus anciens membres de l'Union européenne, la Norvège, la Suisse et l'Islande) ont baissé de 3,5 %, à 1 136 930 unités. Ces chiffres, qui sont comparés à ceux d'octobre 2003, ont été publiés, mardi 16 novembre, par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA). Les constructeurs français PSA et Renault ont enregistré de fortes baisses dans leur pays d'origine. Une situation inquiétante alors que c'est dans ce pays qu'ils dégagent les plus fortes marges.

UNE BAISSE CONTINUE EN EUROPE

En Europe occidentale, il s'agit du quatrième mois de chute : les immatriculations ont baissé de 5 % en juillet, de 0,8 % en août et de 0,6 % en septembre. Depuis le début de l'année (soit dix mois), les immatriculations de voitures neuves n'ont ainsi augmenté que de 1,1 % dans les dix-huit pays européens. Pour les quinze plus anciens pays de l'Union, les immatriculations ont connu une chute de 3,5 %, à 1 105 114 unités en octobre, et de 0,9 % depuis janvier.

Sur le mois d'octobre, c'est l'Italie qui arrive en tête des plus fortes baisses, avec un recul de 8,5 %. Le marché français n'est pas mieux loti, avec une chute de 8,1 %. Vient ensuite le Royaume-Uni, avec - 5,9 %. En revanche, en Allemagne le marché de l'automobile semble mieux résister à la morosité. Alors que ses immatriculations avaient chuté de 3,7 % en septembre, elles ont augmenté de 4,5 % en octobre. Enfin, dans huit des dix nouveaux pays membres de l'Union européenne, 62 176 voitures ont été immatriculées en octobre, affichant un plongeon de 19,2 % après une baisse de 18,8 % en septembre. Le marché polonais a particulièrement souffert : - 37,6 %, après - 32,1 % en septembre.

FORT RECUL DE PSA

Alors que les constructeurs allemands ont bien résisté - BMW a une nouvelle fois enregistré un bond (+ 24,5 %) de ses immatriculations en octobre, ainsi que Volkswagen (+ 2,9 %) -, les constructeurs français ont affiché des chiffres médiocres. "La dynamique favorable du premier semestre n'est plus qu'un souvenir", a déclaré à l'AFP la banque Dexia Securities. PSA, le deuxième constructeur européen, a en effet affiché un recul de ses immatriculations de 11,5 % en octobre, à 155 935 véhicules neufs : - 11,3 %, à 87 612 véhicules, pour la marque Peugeot, et - 11,8 %, à 68 323 véhicules, pour Citroën. Avec Fiat, c'est le plus fort recul des constructeurs européens. Sur les dix premiers mois de l'année, la chute de PSA atteint 4,7 %.

La Bourse n'a pas manqué de sanctionner ce chiffre. Le titre PSA a perdu 3,24 %, à 46,95 euros, mardi. En octobre, la part de marché du groupe PSA a chuté de 1,3 % (13,7 % contre 15 % en octobre 2003), alors que celle de Volkswagen, le numéro un européen, a gagné 1,2 %, à 19,1 %. Malgré son modèle "familiale", la petite 407, Peugeot n'a pas réussi à tirer son épingle du jeu. Le groupe explique qu'il n'a pas voulu rentrer dans une guerre des prix comme certains de ses concurrents. Reste que la conjoncture est difficile pour le constructeur. Le 4 novembre, le groupe a annoncé qu'il avait l'intention de se retirer du championnat du monde des rallyes, expliquant qu'il voulait réduire les budgets investis en compétition.

MAUVAISE PASSE POUR RENAULT

En octobre, le constructeur français a enregistré une baisse de ses immatriculations de 8,2 % (123 490 unités) par rapport au mois d'octobre 2003, selon l'ACEA. Comme PSA, le titre a été sanctionné en Bourse, perdant 2,08 %, à 63,55 euros, sur la séance de mardi. En France, les immatriculations de Renault ont chuté de 12,6 %. Malgré des résultats toujours encourageants pour ses monospaces Scénic, avec sa gamme Mégane (12,7 %), Renault souffre sur d'autres modèles. Ainsi, la sortie de son mini-monospace Modus a entraîné une forte baisse sur les ventes de la Clio (- 40,5 %). Par ailleurs, la Laguna et la Twingo ne font plus partie des trente meilleures ventes de véhicules en Europe, alors qu'en 2002 elles occupaient respectivement les 18e et 29e rangs.

De mauvaises performances des constructeurs qui ont entraîné dans leur chute boursière, mardi, les équipementiers français : Valeo a perdu 1,39 %, à 29,90 euros, Faurecia 1,82 %, à 57,60 euros, et le titre du fabricant de pneumatiques Michelin a chuté de 2,24 %, à 43,72 euros.

Nathalie Brafman (avec AFP)

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 18.11.04
Mer 17 Nov, 2004 19:11
Le monde a écrit:
Ainsi, la sortie de son mini-monospace Modus a entraîné une forte baisse sur les ventes de la Clio (- 40,5 %).
c'était un peu prévisible
j'espère pour renault que la modus est plus rentable
DoC_jule78
Membre d'honneur
Mer 17 Nov, 2004 20:11
Et apparemment MODUS ne suffit toujours pas à compencer la baisse des autres modèles. Mauvais.
Mer 17 Nov, 2004 23:11
boursorama a écrit:

Renault: 10 ans de cotations boursière.

Le constructeur automobile français Renault fait le point ce mercredi sur dix années de cotation boursière, en soulignant tout d'abord que le cours de son action a plus que doublé de puis le 17 novembre 1994, par rapport à son prix d'introduction de 165 francs, soit 25,15E.

La capitalisation boursière de l'ex-régie a simultanément triplé, situant le groupe à la septième place des constructeur automobiles mondiaux, 'témoignant de la mutation de l'entreprise', celle-ci étant illustrée en particulier par l'évolution de la composition capitalistique du groupe.

Ainsi, la part de l'Etat français est passée de 53% du capital de l'entreprise avant la privatisation du Groupe en juillet 1996, à 25,9% en avril 2002 puis à 15,7% en juillet 2003. Simultanément, la part détenue par le public s'est accrue passant de 28% en décembre 1995 à 61,2% du capital dont 55% d'investisseurs institutionnels français et étrangers et environ 6% d'actionnaires individuels. A travers trois opérations réservées, les salariés de Renault détiennent désormais plus de 4% du capital de l'entreprise. En 1999, Renault a forgé l'Alliance avec Nissan qui s'est traduite trois ans plus tard par l'entrée de Nissan au capital de Renault dont il détient 15% (sans droits de vote).

Pour l'heure, l'action Renault ce stabilise à 63,55E mercredi matin au lendemain de la publication de chiffres mensuels de ventes décevants en Europe occidentale. Selon l'ACEA, les ventes de Renault ont reculé de 8,2% au mois d'octobre, à 123480 unités, au sein d'un marché en baisse de 3,5%. La part de marché du groupe a reculé à 10,9%, contre 11,4% un an plus tôt.


www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_so..mp;&news=2178894

Jeu 18 Nov, 2004 07:11
C'est une réécriture du communiqué de presse donné par Doc_jule78.
Jeu 18 Nov, 2004 08:11
oops je n'avais pas vu :?
Jeu 18 Nov, 2004 20:11
Je suis sur que ce n'est qu'un mauvais passage, et que le moi de Novembre sera meilleur, sinon excellent!
Sam 20 Nov, 2004 09:11
koleos a écrit:
oops je n'avais pas vu :?


Non non, il n'y a pas de mal.

Ca permet d'apposer une signature "financière" sur un communiqué de presse. C'est de bonne guerre.

Sam 20 Nov, 2004 12:11
j'ai eu un peu de mal à voir le petit post de doc
intercalé entre tes 2 mega post

sinon boursorama se sert surement des communiqués de presse renault pour faire leur communiqué
DoC_jule78
Membre d'honneur
Sam 20 Nov, 2004 15:11
Moi j'avais mis un résumé seulement avec le lien officiel...
rien de grave donc
Sam 20 Nov, 2004 16:11
koleos a écrit:
j'ai eu un peu de mal à voir le petit post de doc
intercalé entre tes 2 mega post





Ven 26 Nov, 2004 20:11
Chômage technique chez Nissan (RENAULT) faute d'acier

(AOF) - Du fait d'une pénurie d'acier, trois des quatre usines japonaises de Nissan seront au chômage technique pendant cinq jours début décembre, rapporte "Les Echos" vendredi. Le constructeur japonais va ainsi suspendre sa production et reporter la fabrication de 25.000 véhicules au mois de janvier. Les ventes qu'il risque de rater et les heures supplémentaires nécessaires pour rattraper le retard devraient coûter plusieurs centaines de millions d'euros au constructeur, contrôlé à hauteur de 44,4% par Renault, précise le quotidien.

Ven 26 Nov, 2004 21:11
ouh là,
si une commande n'a pas été passé à tps, çà risque de chauffer pour le gars en question :?

je me demande bien pourquoi il n'y a que nissan de touché ...
ils ont mal du s'y prendre
DoC_jule78
Membre d'honneur
Ven 26 Nov, 2004 22:11
Putain ça va faire mal au titre à la bourse... déjà que le groupe n'est pas au plus haut
Sam 27 Nov, 2004 06:11
Non il n'y a pas que Nissan. D'autres articles disent que certainement d'autres clients vont être touchés. Les constructeurs auto sont de gros consomateurs...

Mais c'est clair que ce n'est pas bon. Le titre à déjà perdu 2.21 % cette semaine.
DoC_jule78
Membre d'honneur
Sam 27 Nov, 2004 18:11
Et la chute continue en plus

DoC_jule78
Membre d'honneur
Lun 29 Nov, 2004 19:11
Oh mon Dieu, le trou d'air a eu lieu

Le dollar a inscrit un nouveau plus bas vendredi, provoquant de nouveaux dégagements sur Renault. La cassure de la moyenne mobile à 200 jours, qui évoluait à proximité des 62 euros, a favorisé une accélération baissière du titre, qui a cédé jusqu'à 2,7% en séance. La valeur a ainsi rapidement atteint notre premier objectif, fixé à 60,72-60,78 euros, sur lequel les détenteurs de puts ont pu prendre des bénéfices.


d'où une chute expliquée...
Sam 04 Dec, 2004 06:12
-1.37% cette semaine...
DoC_jule78
Membre d'honneur
Sam 04 Dec, 2004 14:12
Mais j'ai vu que les analystes se montrent confiants...
il faut que je recherche l'article :?
DoC_jule78
Membre d'honneur
Sam 04 Dec, 2004 14:12
Voilà c'est ça


Commercialement, Renault reste dans un excellent 'cycle produit' avec donc les relais de la Modus et de la Logan ou l'évolution de la gamme Mégane, ce qui est de bon augure pour l'exercice 2005. Pour 2004, Renault a confirmé il y a peu ses prévisions financières qui passent par une marge d'exploitation de 5,5%. La contribution de Nissan au résultat du second semestre 2004 de Renault a été évaluée à 813 Millions d'Euros, un chiffre proche de celui de l'an denier (847 ME). Le résultat net 2004 de Renault intègrera les bénéfices de Nissan pour une période étendue à 15 mois afin de rattraper le décalage actuel de trois mois. En 2003, Renault avait bénéficié d'une contribution de 1,7 MdE sur l'année. On profitera donc d'un "rétro" du titre vers les 60 Euros pour se replacer. La valeur boursière de la participation dans le capital de Nissan assure en effet un "coussin de sécurité" dans cette zone de cours et reste injustement valorisée par les marchés alors que cette coopération industrielle franco-japonaise demeure une référence dans le monde automobile. On peut commencer à revenir à l'achat après la baisse des cours.

Dim 05 Dec, 2004 20:12
(Cercle Finance / 18.11.2004) - Renault s'est retrouvé tout récemment 'coiffé' par sa MM50 vers 66,30/66,50E et la rechute des cours s'est accompagnée d'une nette inflexion à la baisse de l'ensemble des oscillateurs, lesquels poursuivent leur décrue alors c'est au tour de la MM150 (qui se confond avec le support ascendant oblique moyen terme vers 63,7E) d'être enfoncée.
Cette fois-ci, à moins d'un sursaut 'in extremis' au-delà des 63,5E, Renault semble bien parti pour corriger jusque sur 60,15E ('gap' du 27/7) puis 59E (plancher estival).

(Cercle Finance / 24.11.2004) - Renault risque d'enclencher la marche arrière en direction de 54E s'il se confirme que la rupture de la 'ligne de cou' des 63E valide bien l'E/T/E baissière (séquence: 66,5/70,5/66,5) dont le potentiel est déterminé par l'écart entre 70,50 et 62,50E.
DoC_jule78
Membre d'honneur
Dim 05 Dec, 2004 20:12
C'est trop technique tout ça...
ça veut dire quoi ?
Que Renault va rebaisser à 54euros ?
Dim 05 Dec, 2004 21:12
C'est du chinois, mais en gros ça veu bien dire que l'action risque de baisser!
Mais tout de même rien n'est moins sur,et je pense que se sera que passagé, car les ventes repartent à la hausses, Nissan se porte plutot bien et fait un carton au stat, la Logan démare en trombe, et le prix du pétrole baisse!
DoC_jule78
Membre d'honneur
Dim 05 Dec, 2004 21:12
J'espère. Mais même quand renault va bien l'action baisse. Il y a toujours une bizarre contradiction :?

Dim 05 Dec, 2004 22:12
T'inquiete pas Doc, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Les investiseurs savent ou est leurs intêret!
Lun 06 Dec, 2004 08:12
Effectivement, c'est du jargon technique financier pour faire croire que les analystes comprennent la bourse !!! Je plaisante à peine. Il faut voir surtout que les volumes échangés ces derniers temps sont faibles d'où la faible réaction des marchés aux événements extérieurs. Je pense aussi que les investisseurs sont dans une situation d'attente vis-à-vis de la succession.

Il y a toujours des contradictions. Quand une boite licencie par exemple, les actions peuvent monter... Les investisseurs sont souvent contents quand l'entreprise réduit ses coûts.

En fait, mes articles c'était surtout pour te dire de toujours mettre les sources et la date. Pour ce genre d'analyse, c'est primordial.
DoC_jule78
Membre d'honneur
Lun 06 Dec, 2004 16:12
OK j'y penserai

sinon l'action continu sa chute à 60euros
Lun 06 Dec, 2004 20:12
Mouais... Day Low à EUR 60.05 je crois...

DoC_jule78
Membre d'honneur
Lun 06 Dec, 2004 21:12
c nul
l'action a perdu 10euros en 2 mois
DOS
Lun 06 Dec, 2004 22:12
Le moment de se repositionner qui sait
Mar 07 Dec, 2004 08:12
C'est certain que l'action se rapprochant de son Year Low (51 euros et des brouettes en février...) elle peut commencer à devenir interessante... Néanmoins, j'attendrais encore un peu. Je pense qu'elle peut encore baisser.