Re-bonjour à toutes et tous,
Après avoir étudié vos réponses et avoir confronté une nouvelle fois mes avis et expériences avec celles de mon père, si je reste persuadé que le creux à bas régime dont était affligé le moteur 1.5-16v de la Smart Forfour que j'ai longuement conduit il y a environ un an était tout ou en partie du à son architecture multi-soupapes (et sans doute aussi au fort croisement de ses arbres à cames), il semblerait que les autres désagréments rencontrés (à savoir une réponse brutale et non linéaire à l'accélérateur) vienne plutôt de l'étagement de la transmission. Je m'explique: lorsque je lui ai rappelé mon ressenti de la réponse à l'accélérateur, mon père m'a dit que cela lui rappelait le comportement des (nombreux) véhicules utilitaires qu'il a eu en main et qui avait tous une démultiplication finale très courte. Et vérifications faites, ça se tient: la Smart évolue en effet sur un pont au rapport très, très court (4,53 : 1
), nettement plus que celui de ma Twingo 1.2 habituelle
(3,87 :1) ou de l'Opel Corsa 1.7 DI (3,55 : 1) que j'ai eu l'occasion de conduire à 3 reprises (et qui m'a fait bonne impression soit dit en passant), sans même parler de la Fiat Bravo 1.6-16V (3,35 : 1) à laquelle
Morex s'est (fort judicieusement
) référé. Voilà qui explique bien des choses!
Moralité: lorsque le moment (éloigné!) du choix de la remplaçante de ma Twingo sera venu, un solide séance d'épluchage et de décryptage de fiches techniques s'imposera et le diesel, bien que me plaisant bien et convenant bien à mon style de conduite (paresseux du changement de vitesse et se plaisant à évoluer au couple, sur un filet de gaz), ne sera peut être pas forcément de mise (because faible kilométrage annuel).
Voilà, voilà, je crois que j'y vois nettement plus clair maintenant!
Encore merci pour vos réponses
et bonne route à toutes et tous!